Gôbo au pays du soleil levant. il s’agit en fait d’une variété appartenant à la même espèce que le bardane sauvage que l’on peut trouver par-ci par-là. Tout comme le salsifis ou la scorsonère, c’est la racine charnue que l’on consomme.
mais rien n’empêche d’en laisser fleurir pour profiter de sa magnifique floraison et de laisser les oiseaux déguster ses nombreuses graines (les chardonnerets par exemple en raffolent).
Tenir très humide, la racine doit grossir rapidement pour rester tendre.