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Cédric Salaün
Historique du Domaine
Jean-Marie Salaün, breton d’origine, marié à une Franc-Comtoise qui lui donna l’amour des paysages jurassiens et des vins si typés de sa région, a acheté ses premières vignes et terres à vignes en 1977 ; en 1981 ils s’installaient à Passenans après avoir acquis l’ancienne métairie du Château de Frontenay pour y constituer le Domaine la « Croix de Marche ».
Cette demeure à l’architecture typique des demeures vigneronnes du Jura, construite vraisemblablement au XVI iéme siècle, offre avec ses caves voûtées, un cadre idéal au vieillissement en pièces et demi-muids de chêne de leurs Château-Chalon, VinsJaune, Savagnin, Chardonnay et ce dans le respect des traditions.
La majorité du Domaine s’étend sur les côteaux de Passenans où Hélène et Jean-Marie ont reconstitué l’ancien Domaine viticole de Passenans, disparu en partie à la suite du phylloxéra, et du morcellement des parcelles.
Leur fils Cédric (le cadet de la famille) vient en ce début de siècle et de millénaire, de reprendre le flambeau pour perpétuer l’œuvre entreprise. Cette relève se fait avec conviction grâce au soutien des fidèles clients, qui sont devenus des amis et qui seront, ils en sont convaincus, également les siens.
Jean-Marie Salaün, breton d’origine, marié à une Franc-Comtoise qui lui donna l’amour des paysages jurassiens et des vins si typés de sa région, a acheté ses premières vignes et terres à vignes en 1977 ; en 1981 ils s’installaient à Passenans après avoir acquis l’ancienne métairie du Château de Frontenay pour y constituer le Domaine la « Croix de Marche ».
Cette demeure à l’architecture typique des demeures vigneronnes du Jura, construite vraisemblablement au XVI iéme siècle, offre avec ses caves voûtées, un cadre idéal au vieillissement en pièces et demi-muids de chêne de leurs Château-Chalon, VinsJaune, Savagnin, Chardonnay et ce dans le respect des traditions.
La majorité du Domaine s’étend sur les côteaux de Passenans où Hélène et Jean-Marie ont reconstitué l’ancien Domaine viticole de Passenans, disparu en partie à la suite du phylloxéra, et du morcellement des parcelles.
Leur fils Cédric (le cadet de la famille) vient en ce début de siècle et de millénaire, de reprendre le flambeau pour perpétuer l’œuvre entreprise. Cette relève se fait avec conviction grâce au soutien des fidèles clients, qui sont devenus des amis et qui seront, ils en sont convaincus, également les siens.
